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(Mar. 18 Nov. 2014, 09:27)ILOVETP a écrit : [ -> ]New York : un Charentais-Maritime arrêté pour avoir escaladé le pont de Brooklyn

http://www.sudouest.fr/2014/11/17/new-yo...9-1340.php

Ça les fait de moins en moins rigoler...
http://www.leprogres.fr/france-monde/201...e-brooklyn
(Mar. 18 Nov. 2014, 10:46)PonyClub a écrit : [ -> ]
(Mar. 18 Nov. 2014, 09:27)ILOVETP a écrit : [ -> ]New York : un Charentais-Maritime arrêté pour avoir escaladé le pont de Brooklyn

http://www.sudouest.fr/2014/11/17/new-yo...9-1340.php

Ça les fait de moins en moins rigoler...
http://www.leprogres.fr/france-monde/201...e-brooklyn

Le même procureur que DSK, la classe.

"Risque une peine de prison", ça ne veut pas dire qu'il va y aller. En France aussi on risque une peine de prison à s'introduire illégalement dans une propriété privée.
Non mais ce pays quoi... Le mec qu'a tué gratuitement un black a eu moins de soucis, qu'un mec qu'a escaladé un pont...
(Mar. 18 Nov. 2014, 12:56)alpha a écrit : [ -> ]Non mais ce pays quoi... Le mec qu'a tué gratuitement un black a eu moins de soucis, qu'un mec qu'a escaladé un pont...

THANKS OBAMA!
Qu'adviendrait-il d'un black qui escaladerait le pont ?
On le ferait exécuter par un blanc ?
(vous avez trois heures)
Le débat dévie...

Quoi qu'il en soit, même si on s'accorde sur le principe de proportionnalité de la peine, faut pas chialer de ramasser une fessée quand on se fait prendre la main dans le pot de confiote. "Je savais pas que c'était interdit de traverser les voies et de grimper sur une structure dangereuse", c'est sûrement ce qu'il faut dire au juge - mieux vaut passer pour un con que pour un délinquant - mais ça ne convainc personne ici. Ce qu'il a fait est interdit, il s'est fait gauler, c'est la faute ni des flics ni des juges ni d'Obama.
T'es un urbexeur et tu vas en taule, non mais allo quoi
Apparement un reportage illustré de Yves Marchand et Romain Meffe dans le nouveau numéro de XXI.
Annonce radio mais site en maintenance au moment où j'écris.

http://www.revue21.fr/
Concernant le gars en question, il semblerait que ce tocard se soit fait choper plutôt en bas de la structure et non en haut Smile

S'il a pas eu le temps de monter, c'est vraiment ballot.

-Bhv-
Un tronc humain en décomposition a été découvert mardi matin à Paris, face au 13 rue Louis Pasteur Valléry-Radot, tout près de l'hôpital Bichat, dans le 18e arrondissement.

Selon une information du journal Métro, le corps aurait été retrouvé par un ouvrier qui travaillait sur un chantier d'assainissement dans cette voie qui longe le boulevard périphérique. C'est en ouvrant une trappe qu'il serait tombé sur le cadavre en décomposition, caché dans une gaine technique. Il a immédiatement appelé la police.

L'identité de la victime n 'était pas connue ce mardi après-midi. Le corps devrait transféré à l'Institut Médico-légal de Paris pour y être autopsié.

Le 2e district de police judiciaire (DPJ) a été saisie de l'enquête.
leparisien.fr
(Ven. 21 Nov. 2014, 22:36)Georges V a écrit : [ -> ]Un tronc humain en décomposition a été découvert mardi matin à Paris, face au 13 rue Louis Pasteur Valléry-Radot, tout près de l'hôpital Bichat, dans le 18e arrondissement.

Selon une information du journal Métro, le corps aurait été retrouvé par un ouvrier qui travaillait sur un chantier d'assainissement dans cette voie qui longe le boulevard périphérique. C'est en ouvrant une trappe qu'il serait tombé sur le cadavre en décomposition, caché dans une gaine technique. Il a immédiatement appelé la police.

L'identité de la victime n 'était pas connue ce mardi après-midi. Le corps devrait transféré à l'Institut Médico-légal de Paris pour y être autopsié.

Le 2e district de police judiciaire (DPJ) a été saisie de l'enquête.
leparisien.fr

C’était l'an dernier ça ! c'est une journaliste la morte, ce matin c'est les types qui l'ont découpée qui ont été arrêtés.
(Sam. 22 Nov. 2014, 02:14)Jahirange a écrit : [ -> ]C’était l'an dernier ça ! c'est une journaliste la morte, ce matin c'est les types qui l'ont découpée qui ont été arrêtés.

Effectivement, j'ai une guerre de retard :

Le corps retrouvé dans les égouts de Paris identifié

Une partie du mystère entourant la découverte, le 24 septembre, des restes d’un tronc aux membres sectionnés, dissimulé dans une gaine technique sous un trottoir dans le XVIIIe arrondissement de Paris, vient d’être levée.

Selon les premières investigations des enquêteurs de la brigade criminelle en charge de ce délicat dossier, la victime serait une jeune femme de 33 ans, disparue depuis la fin du mois d’août.
Domiciliée dans le XVIIIe arrondissement de la capitale, celle qui aurait par ailleurs travaillé comme journaliste pour plusieurs chaînes de télévision n’avait plus donné signe de vie depuis un peu plus d’un mois. Les policiers de la crim sont parvenus à identifier le corps grâce à son empreinte génétique.

Selon nos informations, l’autopsie du tronc de la victime, découvert par hasard par des ouvriers, a permis d’établir que les membres de son corps avaient été sectionnés de manière très nette. « Cela s’apparente à du travail de professionnel, confie une source judiciaire. Ce tronc a été retrouvé dans un état de décomposition très avancé. Le ou les auteurs de ce meurtre ont recouvert plusieurs parties du corps avec du plastique avant de l’abandonner dans cette gaine technique de la rue Louis-Pasteur. » Une artère située juste derrière l’hôpital Bichat. Une proximité de lieu qui avait, dans un premier temps, laisser envisager aux enquêteurs l’hypothèse d’une mauvaise blague de carabins ou d’une mise en scène morbide avec un corps destiné au travail d’étudiants en médecine. Un scénario qui a désormais été définitivement écarté.

Selon une source proche de l’enquête, la jeune femme identifiée était en arrêt maladie depuis plusieurs mois lorsqu’elle a disparu. L’autopsie a en outre permis de déterminer que, malgré l’état de décomposition avancée de ce cadavre atrocement mutilé, le meurtre devait remonter à quelques semaines à peine.

Toujours selon nos informations, la victime, qui serait originaire des Alpes-Maritimes, aurait pu suivre un traitement pour des troubles de l’humeur au sein même de l’hôpital Bichat. « Mais il semble que la jeune femme ne suivait plus son traitement depuis plusieurs jours avant sa disparition, révèle un proche de l’affaire. Les circonstances de ce meurtre restent à déterminer. Se débarrasser des restes d’un corps dans un endroit pareil est évidemment très inhabituel. Les investigations se poursuivent. »


LeParisien.fr








Paris : troublant cambriolage chez la journaliste assassinée


Au lendemain del’identification du corps de Caroline C., 33 ans, journaliste, dont le tronc avait été retrouvé dans une gaine technique sous un trottoir d’une rue du XVIIIe arrondissement, le 24 septembre à Paris, les enquêteurs de la brigade criminelle tentent toujours d’établir les circonstances de son meurtre.

Selon nos informations, les policiers de la crim s’intéressent notamment à un troublant cambriolage intervenu au domicile de la victime dans le XVIIIe, plusieurs jours après sa disparition. « Le 18 septembre, un ou plusieurs inconnus se sont introduits chez elle pour dérober son téléphone, une tablette numérique, un blouson et son sac à main, révèle un proche de l’affaire. Ses proches ont cru qu’elle était rentrée pour récupérer ses affaires avant de repartir. » Mais un détail intrigue les enquêteurs : un appareil photo argentique lui appartenant et qui ne se trouvait pas dans son appartement quelques jours avant ce cambriolage a subitement réapparu… « Cet appareil est en cours d’exploitation, poursuit la même source. Pour l’heure, rien ne vient expliquer ce fait étrange. »

Les restes du corps de Caroline C., atrocement mutilé, ont été découverts par des ouvriers, à deux pas de l’hôpital Bichat où elle s’était rendue, à plusieurs reprises, pour suivre un traitement pour des troubles de l’humeur. Toujours selon nos informations, les policiers sont parvenus à l’identifier grâce à ses empreintes digitales. « Elles étaient enregistrées depuis qu’elle avait fait une demande de passeport biométrique », révèle une source proche de l’affaire.

Diplômée de l’Institut pratique de journalisme (IPJ) en 2006, Caroline C., originaire des Alpes-Maritimes, avait rapidement trouvé sa voie à la télévision, avant d’enchaîner les missions. « Elle traitait tous les sujets chez nous, se remémore un de ses anciens confrères à Nice. Une jeune femme discrète, plutôt introvertie mais qui donnait entièrement satisfaction. Nous n’avons jamais décelé le moindre trouble dans son comportement ou sa façon d’être. Cette histoire est complètement folle. »

Ces derniers mois, le moral de Caroline C. semble avoir décliné peu à peu. Toujours selon nos informations, la jeune femme aurait notamment eu du mal à se remettre de deux déceptions sentimentales.

« La vie n’a pas toujours été facile pour elle, souffle un de ses proches sous le choc. Sur sa page Facebook, elle disait qu’elle était hospitalisée dans un service de psychiatrie. Mais elle savait aussi profiter de la vie. » « Elle avait un cœur énorme…, confie son père, effondré. Caroline avait une très belle plume, était extrêmement appréciée. Elle aidait beaucoup les sans-domicile-fixe. Quelque temps avant sa disparition, elle avait encore donné une cuisinière à une personne dans le besoin. Elle a beaucoup souffert dans sa vie. C’était vraiment une belle personne, hypersensible et qui laissait toujours parler son cœur… »

Le Parisien





L'enquête sur le meurtre d'une jeune journaliste à l'été 2013 à Paris, dont le corps avait été atrocement mutilé, s'est soudainement accélérée en début de semaine.

Deux suspects ont été interpellés mardi par les enquêteurs de la brigade criminelle et placés en garde à vue. L'un d'entre eux a été remis en liberté sous le statut de témoin assisté. Le second suspect a été mis en examen avant d'être écroué mercredi soir. Il nie en bloc son implication dans ce meurtre. Cet homme, qui est présenté comme le meurtrier présumé de la victime, a demandé un délai pour préparer sa défense. Sa présentation devant le juge des libertés et de la détention devrait intervenir lundi.

« Pour les parents de la victime, c'est une avancée très importante, a estimé, hier, M e François Saint-Pierre, l'avocat de la famille de Caroline Corvalan. Même s'ils restent prudents et attendent la confirmation de l'implication de ces suspects dans le meurtre de leur fille. »

Retrouvée sous un trottoir

Selon nos informations, les deux hommes, interpellés en début de semaine par les enquêteurs de la crim, seraient de nationalité égyptienne. « Les investigations se sont concentrées dans la communauté égyptienne, confie une source proche de l'affaire. Une première vague d'interpellations déclenchée au mois de mars avait permis d'identifier les receleurs de plusieurs objets volés à la victime, dont son portable. Cet appareil avait finalement été retrouvé en Egypte. »

Agée de 33 ans, Caroline Corvalan, ancienne pigiste notamment auprès de la rédaction de France 3 Côte d'Azur à Nice (Alpes-Maritimes), domiciliée dans le XVIII e arrondissement à Paris, n'avait plus donné signe de vie depuis le 19 août 2013. Son corps, en partie démembré et décapité, avait été découvert, le 24 septembre 2013, par des ouvriers intervenant rue Louis-Pasteur (XVIII e). Sa dépouille avait été retrouvée nue et en état de décomposition avancée.

Les enquêteurs avaient établi que le ou les auteurs de ce crime avaient dû soulever quatre lourdes dalles avant d'abandonner les restes du corps de la victime sous ce trottoir. L'autopsie avait déterminé que sa mort était intervenue le 5 ou le 6 septembre. Son identité avait finalement été officiellement établie, le 27 septembre, grâce à ses empreintes.

Le Parisien
Dans le même genre, plus gai ...

La Mutte, une carrière devenue site touristique

07/03/2014 A Sargé, on veille à la carrière de la Mutte, ancien site d’extraction du roussard, pierre qui a servi à la construction de nombreux ponts.



[Image: La-Mutte-une-carriere-devenue-site-touri..._large.jpg][Image: zoom_in.png]
Samedi, Perche Nature organisait un chantier d'entretien à la carrière de la Mutte, en collaboration avec le Conservatoire d'espaces naturels du Loir-et-Cher et la commune de Sargé-sur-Braye. Ce site géologique, ancienne carrière d'extraction du roussard, est devenu un site touristique. Ponctuellement, le terrain est entretenu afin d'offrir aux visiteurs une bonne lisibilité de la carrière depuis les miradors. Ces travaux aident également au maintien de la biodiversité. Le milieu acide, poreux, qui capte bien la chaleur, favorise l'émergence de la digitale, de la bruyère, du bouleau, du châtaignier…
Préserver la carrière n'a pas été une mince affaire. Durant une vingtaine d'années, Perche Nature a tenté de la sauver car elle était condamnée à disparaître. En 1952, à la fin de l'exploitation minière, la fosse devait être comblée pour une remise à l'état initial, à l'instar des autres fosses du terrain. Avant le remplissage, la municipalité de Félicien Granger avait essayé de la racheter, mais c'est sous la municipalité de Gérard Rousseau que l'opération a pu se réaliser en mars 2006. « Cette carrière est le seul témoin d'extraction du roussard du département, elle a donc une valeur importante »,confie le conservateur Jean-Paul Mignot.
Grâce à la ténacité de Perche Nature et des municipalités successives de Sargé, elle est devenue un musée de plein air qui permet de découvrir, grandeur nature, l'origine de ce matériau de construction emblématique du nord du Loir-et-Cher. C'est avec le roussard, seule pierre solide de taille locale, qu'ont été construits tous les ponts du secteur (Sargé, Mondoubleau, Choue…). On le retrouve aussi dans la construction de certaines églises, châteaux et fermes.
Par mesure de sécurité, la carrière elle-même n'est pas accessible au public mais ses abords sont ponctués de panneaux pédagogiques et le site ouvert à tous permet d'effectuer de belles balades aux alentours.
Il est possible de demander des visites guidées auprès de Perche Nature, 4, rue Saint-Denis, Maison Consigny à Mondoubleau.www. perchenature.fr ; tél. 02.54.80.11.05.

Cor. NR : M.C.-M.
Marseille : des pierres datant de l'Antiquité jetées aux ordures

Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait.
(Jeu. 04 Dec. 2014, 17:39)Yannouuu a écrit : [ -> ]Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait.

Merci de sourcer (et donc rendre hommage) à Lautner pour ces dialogues exceptionnels