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Effondrement de Carrière...
Pour avoir fais une carrière il y a 2 jours c'est impressionnant !!

<!-- m --><a class="postlink" href="http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafz39S.html">http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafz39S.html</a><!-- m -->
Sujet déjà  posté là  :wink:
bubar_33 a écrit :Sujet déjà  posté là  :wink:

Autant pour moi !
Une ancienne voie ferrée de New-York transformée en coulée verte :

http://www.nationalgeographic.fr/carrous...an/795591/
direct matin. Page 11

<!-- m --><a class="postlink" href="http://directmatin.directmedia.fr/pages-presse/edition.aspx?id=94ce1c2c-da3b-44b6-845b-c8f87584e331">http://directmatin.directmedia.fr/pages ... f87584e331</a><!-- m -->
le marronnier !!

Des fausse vérités, des lieux communs : une vraie honte !

-Bhv-
Du Bolloré, quoi... Sauf que c'est un article fourni par le Monde, on aurait pu espérer mieux (m'enfin ça aurait pu être pire, tout compte fait Tomato). Pour la postérité :

Citation :Les mystères insolites des boyaux de Paris

L’entrée, un trou à  peine assez large pour laisser passer un adulte, doit impérativement rester secrète. Equipé d’une lampe frontale, de vêtements qui ne craignent rien et de quelques biscuits secs, il faut tenter de suivre vaillamment le guide, sous peine de se perdre. La progression dans le tunnel creusé dans la roche n’est pas malaisée, mais mieux vaut être petit. Sur le sol stagne une eau apparemment claire. Renseignement pris, elle provient, par infiltration, des égouts, situés juste au-dessus.
Nombreux sont les Parisiens qui ont, au moins une fois dans leur vie, effectué une excursion, insolite et illégale, dans les «catacombes» de la capitale. Le terme, qui évoque un cimetière, est impropre. Il s’agit en réalité d’un réseau de carrières souterraines d’o๠étaient autrefois extraites les pierres destinées aux immeubles. Ce véritable labyrinthe de galeries et de salles, qui s’étend principalement sous les arrondissements de la rive gauche et la banlieue sud de la capitale, ne doit pas être confondu avec les catacombes «officielles», l’ossuaire municipal accessible à  Denfert-Rochereau et que la ville fait parcourir chaque année à  plus de 200 000 personnes. (<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.catacombes-de-paris.fr">http://www.catacombes-de-paris.fr</a><!-- m --> ; 01 43 22 47 63)
Les carrières attireraient quant à  elles, environ 10 000 visiteurs par an, des «touristes» d’un soir, mais aussi des «cataphiles», ainsi qu’ils se nomment, fêtards, tagueurs, passionnés de spéléologie ou amateurs ayant minutieusement cartographié l’enchevêtrement souterrain. Le réseau a une longue histoire. On y a brassé de la bière, exposé des œuvres d’art, caché des fugitifs. Pendant l’Occupation, résistants et soldats allemands se poursuivaient dans les galeries. Aujourd’hui encore, on y lit, trente mètres sous terre, les mêmes plaques des rues qu’en surface. Si l’accès est interdit depuis un arrêté de 1955, c’est en raison des multiples dangers, à  commencer par le risque d’effondrement. Les éboulements de terrain, appelés fontis, provoquent des affaissements qui finissent par fragiliser les fondations des immeubles. Si les catastrophes, comme celle qui fit disparaître six rues à  Clamart (92) en 1961, sont devenues rares, quelques effondrements se produisent de temps à  autre. Créée par décret royal en 1777, l’Inspection générale des carrières (IGC), qui dépend aujourd’hui de la ville de Paris, est chargée de garantir la sécurité des lieux. «Nous consolidons par des travaux de maçonnerie, en installant des piliers ou en renforçant des voà»tes. Parfois, nous injectons des coulis de ciment», détaille Xavier Piccino, adjoint à  l’IGC. Ces travaux n’enchantent pas les «cataphiles» qui se livrent littéralement avec les inspecteurs à  une «partie de chat et de souris». «Les uns murent un accès, les autres y creusent une chatière», commente un habitué. Une unité de police judiciaire se charge de la partie répressive de la réglementation. Jusqu’en 2000, les «cataflics» étaient dirigés par le commandant Jean-Claude Saratte, bien connu des promeneurs du sous-sol, qui maniait autant l’information et la prévention que la contravention. «Depuis, c’est le répressif pur», se désole René Dutrey, conseiller de Paris (EELV). L’élu souhaiterait que le réseau «soit géré comme n’importe quel gouffre de spéléologie, avec des autorisations d’accès», mais sa proposition n’a rencontré aucun écho, ni à  l’Hôtel de ville, ni parmi les associations informelles de «cataphiles», fidèle à  une certaine culture du secret. •
Olivier Razemon
"Sur le sol stagne une eau apparemment claire. Renseignement pris, elle provient, par infiltration, des égouts, situés juste au-dessus."
Putain merde je savais pas je vais arrêter de descendre du coup, l'eau des égouts, beuuuuurk Icon_lol
Je me demande bien o๠ils l'ont pris leur renseignement ?
tiens Dutrey....il courrait vite il y a 20 ans....
peut-être, si ça se trouve qu'en imaginant que tu aies raison dans l'analyse de leur raisonnement, on pourrait être d'accord avec toi.
Mais il faut se rappeler que les scies n'aiment pas les raies.

même si avec des si on Paris en bouteille.

-Bhv-
Avec des si, on met Paris au conditionnel...
Bhv a écrit :le marronnier !!

Des fausse vérités, des lieux communs : une vraie honte !

-Bhv-

Pas vraiment surprenant, c'est du direct poubelle...
Bizarre, un coup de pub pour... :mrgreen:
En le lisant, je savais qu'il serait ici ce soir Smile
Un nouvel article consacré aux catas sur le site du national géographic...mais là  encore rien de fracassant :

http://www.nationalgeographic.fr/carrous...ns/795148/