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Les carrières parisiennes aux frontières de la ville et de la campagne de Annie Guini-Skliar, article extrait de la revue Histoire urbaine et tiré d'une thèse de doctorat d'histoire de l'art portant sur les matériaux de construction en général et la pierre à  batir en particulier.
Travail sérieux, assez fouillé avec beaucoup citations et de références. Un seul bémol : une coquille monumentale sur l'histoire de Philibert Aspairt, assez étonnant, si l'on songe à  la qualité des recherches, peut-être un oubli lors de la relecture ?
<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2003-2-page-41-htm">http://www.cairn.info/revue-histoire-ur ... age-41-htm</a><!-- m -->

phebus a écrit :...Un seul bémol : une coquille monumentale sur l'histoire de Philibert Aspairt...

L'inhumation "au même endroit"?

Il faut lire l'article en entier et tu trouveras facilement.

L'article a beau être assez interessant, il ne l'est pas assez pour que j'en lise plus que l'extract. J'ai déja tant à  lire...

Citation : Philibert Aspairt, qui se perdit en 1791, en cherchant à  atteindre, dit la légende, le fameux caveau des Chartreux, lesquels y entreposaient leurs liqueurs. Le corps du malheureux fut retrouvé onze plus tard par les ouvriers de l’Inspection Générale des Carrières et inhumé au même endroit.

Même si les légendes des carrières ne me passionnent pas plus que cela, n'est-ce pas simplement une stèle commémorative?

1793 pas 1791

Abdul El Razad a écrit :Même si les légendes des carrières ne me passionnent pas plus que cela, n'est-ce pas simplement une stèle commémorative?

Un cénotaphe ?

phebus a écrit :

Abdul El Razad a écrit :Même si les légendes des carrières ne me passionnent pas plus que cela, n'est-ce pas simplement une stèle commémorative?

Un cénotaphe ?

Si fait.